Elle vous permettra de vous y retrouver plus rapidement sur des questions pratiques telles que "quel est le climat" ou "qui est au pouvoir" dans le jeu. Elle pourra bien sûr s'enrichir de nouvelles idées et concept, aussi n'hésitez pas à faire part de vos suggestions ou de vos interrogations au staff du forum qui se fera fort d'y trouver une réponse et de la poster ici.


Le jeu est plus axé sur la fantasy orientale, les anciennes civilisations (principalement Sumer, Babylone et la Perse ancienne mais on y retrouve des principes romains et de la Grèce antique). L'ambiance y est mature, assez Lovecraftienne. C'est un peu une ambiance à la Conan le Barbare. Pensez sinon au film 300. la technologie y est peu développée, les sciences axées sur les mathématiques et l'astronomie. L'ambiance est antique, et n'a rien de médiévale.


Dans un tout petit royaume coincé entre la mer et une rivière. Il n'y a qu'une seule grande ville réelle où se trouvent les temples de tous les dieux et le palais du Prêtre-Roi. On distingue deux provinces : Oonai (où se trouve Shurug, la capitale) et Ekur.


Équivalent à celui de la Rome antique : on a l'eau courante, des moulins, des constructions complexes, ponts, aqueducs... la métallurgie est bien développée et les villes sont pavées avec des égouts. Cependant pas de poudre, pas d'armures lourdes en raison de la très forte chaleur du climat, pas de calèche (mais des chars)  ni de mécanismes d'horlogerie trop complexes.


Kur-Kigal est une théocratie où les prêtres ont une autorité incontestée. Ils sont menés par un prêtre-roi vivant à la capitale, Umbar Marche-sur-le-Verre. Il n'existe pas de noblesse mais des clans ayant un peu plus de poids que le peuple. Cependant le pays reste guidé avant tout par la religion et la loi est une affaire religieuse.


Le clergé, tout simplement, et leurs soldats. Le Prêtre-Roi dirige l'unité des temples et les prêtres font suivre les lois "divines", dirigés par les Haut-Prêtres, un pour chaque dieu. Les clans et leurs chefs ont également un certain poids auprès des prêtres. Il existe également une milice dite "sacrée" obéissant au Prêtre-Roi et aux Hauts-Prêtres qui patrouille dans les rues de la ville et fait respecter les lois. Cette dernière est nommée "Œil-qui-voit-tout" et est globalement crainte par le peuple.


Les habitants de Kur-Kigal sont polythéistes, mais monolâtres pour beaucoup. Cela signifient qu'ils prient tous les dieux mais ont une préférence pour l'un d'entre eux, personnellement. Panthéons Kigallu et Arallu se sont confondus il y a de cela plusieurs siècles et les nomades comme les Tunguzs ont leur propres doctrines animistes et chamaniques. Cependant le pays est un carrefour exceptionnel où se créèrent et se rencontrent de nombreuses civilisations. Cela lui apporte de nombreuses superpositions de couches culturelles.


Le genre hundra défini les personnes intergenres en Kur-Kigal, qui sont considérés comme des oracles. Ce sont les messagers des dieux et ils sont ainsi vénérés par le peuple. On les surnomment les Intouchables car les Kigallus les voient comme inaccessibles et ils intimident souvent les gens. Il arrive souvent qu'on fasse des offrandes aux hundras et le dernier mois de l'année, Kin-Hundra, leur est réservé : durant ce dernier, on fête ces oracles, on demande leur bénédiction et on leur fait des offrandes. Ils sont en général difficile d'accès pour le peuple en dehors des temples où ils vivent. Un Hundra, quelque soit sa caste de naissance ou son origine, sera un élu des dieux et traité comme tel. Même s'il est dayak, naît ou devient esclave, il sera récupéré et éduqué par des prêtres.


Kur-Kigal est majoritairement composé de plaines, désertiques dans la partie occidentale du pays, fertiles à l’Est. Des marais bordent la frontière au sud. Le climat est désertique à l’Ouest, chaud et humide dans la partie Est. Le nord possède un climat montagnard avec des hivers froids et enneigés et des étés cléments du fait de l’altitude. Les températures d'été sont de l'ordre de 40 à 50 degrés à l'ombre. L'hiver est sévère : dans la montagne, la température peut descendre jusqu'à  - 17. Quelle que soit l'époque dans le désert, les écarts de température entre le jour et la nuit surprennent. L'étroit espace laissé au printemps entre les deux saisons de l'été et de l'hiver lui donne une beauté impétueuse.


Chênes, peupliers et pins en sont les principales essences ainsi que les mélèzes et les hêtres, avec çà et là des noyers, des pommiers et des cerisiers sauvages. Le tamaris prospère en plaine avec le sycomore. Mais l'ensemble du pays offre un aspect steppique. Les animaux abondent. Léopards, pumas, lynx, hyènes, chats sauvages, chats de Pallas en tête loups et chacals peuplent tant la plaine que la montagne. La gazelle, la gerboise et le lézard des sables se rencontrent en abondance. Les parcours de chasse sont particulièrement giboyeux en sangliers, lièvres et francolins. Mais Kur-Kigal est surtout riche en oiseaux, envahie par les colombes, les martins-pêcheurs, les échassiers, les canards, les huppes, les coqs des sables, les sarcelles, les rapaces, tels le milan, le busard, l'épervier et, le plus beau de tous, le grand aigle blanc chasseur et nettoyeur des déserts. En montagne on trouve également des mouflons, bouquetins, oryx et des cerfs et près des étendues d'eau, des éléphants et des hippopotames. Les chevaux sauvages, si chers aux Tunguzs, peuplent les grandes plaines et les steppes.


Le royaume de Kur-Kigal applique depuis des centaines d'années une semi-autarcie avec les pays alentours : Eshunn et Chaldéa. Les Eshunniens et les Chaldéans peuvent ainsi commercer avec le pays et passer dans les villes côtières (Lelag-Leng et Koroba) pour le commerce, mais il ne leur est pas permis de s'installer en Kur-Kigal ni de sortir de ces villes. Ainsi, émigrer en Eshunn et en Chaldéa est possible pour un Kigallu, mais il ne pourra pas revenir vivre en Kur-Kigal. Cette politique est le résultat, ou plutôt le résidu, de l'ancienne politique d'assimilation ethnique des Enfants de Kigal durant la Conquête d'Aral.


L'animal le plus domestiqué est l'ovin en général mais pas que pour le lait et la viande : les chèvres sont plus communes dans les maisons que les chiens et les chats. Pour les transports de marchandises, on élève des ânes et des buffles. On se déplace surtout à dos de dromadaire et de cheval. Les élevages comprennent bovins sacrés, cochons, poules, canards... Les enfants ont souvent des serpents non-venimeux en compagnons.


Kur-Kigal est particulièrement favorisé par la géographie mais aussi par son système d'irrigation. Les céréales se voient consommées sous forme de pains de froment sans levain, et de bouillies d’orge ou de millet. Les fruits les plus récoltés sont les figues, les dattes et les grenades ; les légumes se composent essentiellement de lentilles, pois chiches, oignons et ail. Quant à la viande, elle est de porc, de mouton ou encore d’agneau. L'océan tout proche fourni le poisson sans trop de transport. Niveau boisson, la bière (sucrée, en général) est reine mais on y trouve aussi du vin et du lait de chèvre et de brebis. Un hors-d'oeuvre très apprécié des habitants du pays est une crème aigre contenant de l’ail pilé. Le miel et le sésame décorent la plupart du temps les desserts.


Deux langues sont pratiquées : une langue commune pratiquée de tous, l'aklo, et le kigal parlé par les Kigallu. Les Tunguzs parlent le tangut mais la langue n'a pas d'écriture. Les érudits font également des recherches sur une langue morte qui aurait été pratiquée par les anciens Thumm'ha à l'Antiquité : le thuggon ou "parlé de l'océan". Certains cas de personnes atteintes de la Souillure baragouinant quelques mots de thuggon ont pu être constaté récemment.


Environ 40% de la population de Kur-Kigal sait lire. A l'époque de l'Empire des Fils d'Aral, ce pourcentage était de 80% mais il a baissé après la conquête Kigallu dont les traditions étaient orales et qui apprirent l'écriture avec la conquête, ainsi qu'au fil du temps, la société devenant de plus en plus délétère. Savent lire tous les prêtres, les Hundra quel que soit leur métier ou charge et une partie des membres des clans. Le peuple est majoritairement illettré tout comme les esclaves avec l'exception des esclaves employés dans des tâches de scribes ou de comptables.


Vers quinze ans, après le rite de la Nuit Voilée. La culture Kigallu considère cependant que l'âge adulte est atteint uniquement si l'individu n'est plus vierge au terme de cette nuit. Si ces cas sont rares, il peut ainsi encore exister des "enfants" même à trente ou quarante ans bien que cela soit plutôt mal vu et on aura tendance à les infantiliser un peu.


La monnaie de Kur-Kigal est le shekel, divisé en shekel de bronze, d'argent et d'or. Chacun vaut dix fois l'autre mais globalement la monnaie physique est très rarement utilisée car on lui préfère le troc, plus "équitable" selon les habitants du pays.


La mort est un sujet délicat pour les habitants du pays. Les morts ont de tout temps été incinérés puis leurs cendres enterrées avec des objets qui leur ont été importants, parfois même avec leur animaux de compagnie. Le culte naissant de Derketo rend les corps à l'océan, les faisant brûler sur une barque envoyée à la mer. Seul le souvenir se doit d'être important pour le culte, bien plus que n'importe quelle sépulture. Cependant certains se font encore inhumer à l'ancienne, pour que leurs proches puissent conserver leurs cendres.


Le vouvoiement est absent du vocabulaire des Kigallus, et on tutoie même le Prêtre-Roi. Même les esclaves tutoient leurs maîtres Kigallus. La seule fois où le vouvoiement est utilisé par les Kigallus, c'est quand un homme du peuple parle à un prêtre. Les Arallus et Tunguzs utilisent le vouvoiement de la même manière que nous, envers leurs aînés ou supérieurs ; cela créer parfois des situations tendues entre les Arallus qui attachent de l'importance au vouvoiement et les Kigallus dont la culture l'ignore.


Les habitants de Kur-Kigal pratiquent le mariage bigame bien qu'il ne soit pas systématique. Les fondements du couple ne reposant ni sur le sexe, ni sur le genre, la polygynie (avoir plusieurs femmes) et la polyandrie (avoir plusieurs époux) sont pratiqués tout deux sans différence. Chacun peut épouser la personne de son choix hormis les Hundra auxquels le mariage est interdit. Il est possible d'épouser un esclave, mais cela ne l’affranchit pas et les unions multiculturelles (avec des Arallus ou des Tunguzs) sont chaleureusement accueillies comme la base du peuple Kigallu est le métissage depuis des siècles. L'origine sociale joue cependant, principalement dans les clans Kigallu où se font des mariages d’influence et de raison. Le divorce cependant n'existe pas, et les personnes veuves restent mariées à leurs défunts jusqu'à la fin.


Les Kigallus sont très divers, mélanges de multiples tribus barbares ce qui fait qu'on peut retrouver autant de bruns très sombres que des blonds, bien que les roux soient relativement rares. Ils sont généralement de grande taille et portent les cheveux longs quelque soit le genre. Les Dayaks sont tout comme les Kigallus. La barbe est très appréciée des hommes. Les Arallus sont plus orientaux, le teint joliment olivâtre et les cheveux toujours sombres ; leurs yeux vont du noir profond au bleu azur et ils sont plutôt fins. Les Tunguzs quant à eux sont de petite taille (même les hommes), les yeux en amandes et les cheveux sombres et très raides et le teint pâle.


Les esclaves sont la propriété du pays, prêtés aux particuliers mais vivant chez eux. Ils sont tous issus d'un seul et même peuple, les Dayaks, jadis soumis par les Arallus. On naît donc esclave et les enfants des esclaves sont des esclaves. Ils ne peuvent pas être affranchis mais peuvent se marier avec qui ils veulent, même des gens libres. La religion demande de bien les traiter et une fête où les rôles sont inversés est organisée pour rappeler l'importance de la bienveillance à leur égard. Peuvent également devenir esclaves les gens vendus par leurs proches endettés, en général auprès des prêtres. Les seuls esclaves pouvant être affranchis sont les gladiateurs, s'ils deviennent particulièrement connus dans l’arène. Il n'y a donc pas de "marchands" d'esclaves et les manières d'en obtenir sont par l'héritage (vous obtenez les esclaves de vos parents ou proches si vous êtes sur leurs testaments ou par don de leur vivant), par échange (échanger un de vos esclaves avec celui d'un autre maître) ou par le biais d'une demande aux autorités, soit aux conseillers du Prêtre-Roi qui vous confierons un ou plusieurs esclaves en fonction de vos besoins et travaux.


Il existe plusieurs formes de prostitution à Kur-Kigal, où la profession est une activité comme une autre. Il y a le racolage classique qui consiste à se prostituer de soi-même dans les rues, ou par le biais d'un proxénète. Une prostitution plus organisée se fait dans les maisons closes, avec un gérant ou une gérante et parfois une sélection. Enfin il existe dans le culte de Sabaoth et de Zura l'idée d'une prostitution sacrée exécutée par des personnes choisies dans le peuple ou par les prêtres et prêtresses directement. Il n'y a pas de concurrence entre les trois formes de prostitutions car elles touchent un public différent. Quant à la nature de ceux qui se prostituent on retrouve tous les sexes et tous les genres, la société étant ouverte sur les questions d'homosexualité, de pansexualité ou de mœurs, tout simplement. Il arrive également que les gladiateurs les plus connus soient prostitués occasionnellement par leurs maîtres.


Il n'est pas rare que les esclaves soient nus pour marquer leur absence de statut social. Le principe de nudité est pourtant très paradoxal : s'il ne choque personne, les Kigallus attachent une grande importance aux bijoux plus qu'aux vêtements : c'est cette nudité-là qui est considérée comme un signe de pauvreté. L'absence de soins cosmétiques, notamment des cheveux et de la barbe est également considéré comme un signe de "nudité" au sens Kigallu du terme. Les beaux vêtements colorés sont très appréciés, mais on donne plus d'importance au soin de soi et aux parures. Les gens sont vêtus en publics, parfois légèrement, mais vont comme ils veulent chez eux. La notion de "pudeur physique" est toute relative à Kur-Kigal, et souvent en opposition avec celle très stricte des Arallus qui accordent une grande importance à la modestie physique. Les Arallus, au contraire des Kigallus, s'habillent de pied en cape aussi bien en public que chez eux, et leurs esclaves sont également vêtus car dans la pensée Arallu, cacher son corps est avant tout une question de modestie et de vertu.


Pour les Kigallus, un enfant reçoit un prénom à la naissance, qui sera son prénom d'enfant. Durant le rituel du passage à l'âge adulte, un prêtre lui donne un honorifique (Brise-Os, Pleure-dans-le-Vent...) qui deviendra son nom usuel. Son premier prénom sera alors pour ses proches. En exemple, une fille naît "Lavlah" et se fera appeler ainsi par tous jusqu’à ses quinze ans. Le prêtre lui donne alors l'honorifique de "Cherche-la-Voie" et on l’appellera alors comme ça ou plus formellement et rarement "Lavlah Cherche-la-Voie". Seuls ses proches pourront continuer à l’appeler simplement Lavlah. Pour les Arallus c'est plus simple : ils ont un prénom de naissance qui lui suffit. Quand il y a besoin d'une précision, on rajoute "Fils ou Fille de...", tout simplement. Les Tunguzs n'ont qu’un prénom, tout comme les esclaves Dayaks. Les prénoms Kigallus et Arallus ont tendances à comporter beaucoup de doubles syllabes et des consonances courtes et fortes, utilisant beaucoup de "sh", de "k" ou de "ra". Les prénoms sont plutôt courts. Les Tunguzs ont des prénoms plus longs et souvent composés, utilisant des tirets un peu comme les prénoms mongols ou chinois. Ils composent plusieurs prénoms ensembles comme "Kulan-Amal" ou encore "Chul-Choi". Il suffit d'en combiner deux et de les lier avec un tiret.


Pour les Kigallus et les Arallus :
Masculins : Kiklu, Babûr, Djura, Saluja, Torga, Eresh, Sinnok, Misha, Gora, Sabbas, Adompha, Udagan, Dagan, Dagon, Ishir, Uutai, Kuril, Sutan, Amrull, Krull, Mummu, Anu, Urash, Utu, Ninki, Antu, Abzu, Rosh, Adad, Sokar, Eti, Saro, Sako, Baram, Assur, Jokhta, Ashur, Umlahi, Kikkuli, Duygu, Taban, Amal, Aron, Bêl, Marduk, Tammuz, Nabu, Shamash, Ubbar, Umbar, Girru, Ishkur, Martu, Kingu, Akkad...
Féminins : Atita, Prisha, Nanna, Tika, Tita, Ana, Vashna, Kutha, Arali, Lilu, Mikku, Gamlla, Ulua, Quelaag, Tengaar, Leknaat, Varna, Sharn, Zababa, Sabryia, Nalîn, Midya, Gulala, Ayanna, Dilara, Lavlah, Hulya, Amra, Ramra, Shamra, Aruru, Kubaba, Kuja, Saja, Galila, Zuhla, Tama, Tia, Batari, Barat, Hasfa...

Pour les Tunguzs :
Masculins : Yurul, Tolui, Harabal, Maral, Kulan, Amal, Usun, Jelal, Khaguran, Megujin, Suke, Koke, Dochi, Khukai, Temujin, Tehn, Baichi, Batai, Juchi, Botu, Uchal, Sanai, Khat, Khatan, Jhebbal, Oyun, Bileg...
Féminins : Chuluun, Togene, Boerte, Botokhui, Saran-Tuya, Sokhatai, Tuli, Batuu, Boji, Aran, Toghra, Chul, Choi, Suri, Tili, Budra, Sundu, Jochu, Kabe, Kale, Kidu, Bayari, Muri, Tughi, Angol, Angul, Kuya...

Des exemple d’honorifiques Kigallus ?
Mange-Poussière, Appelle-Tonnerre, Brise-Échine, Arpente-en-Silence, Langue-Sanglante, Grands-Pieds, Cheval-Fou, Roi-des-Corbeaux, Trouve-la-Tombe, Compte-les-Coups, Pousse-sa-Chance, Sourire-de-Clémence, Pisse-contre-le-vent, Bouclier-des-Anciens, Griffe-Rouge, Brise-Os, Une-Dent, Ronfle-comme-le-Tonnerre, Vif-Aigle, Murmure-du-Ciel, Vain-Rugissement, Chéri-des-Dieux, Œil-de-Lynx, Patte-de-Velours, Langue-Exquise, Fort-comme-le-Bœuf, Fils-des-Chiens, Chante-le-Vent, Pleure-dans-le-Vent, Dix-Ours, Pattes-de-Feu, Cherche-la-Voie, Marche-sur-le-Verre, Ombre-qui-Passe, Rase-les-Murs, Etoile-du-Matin, Ronge-les-Os, Aime-la-Brise, Tourne-les-Têtes, Chien-Puant, Fier-comme-le-Coq, Fleur-Sauvage, Petit-Soleil, Parle-tout-le-Temps, Éternel-Amour, Petite-Pluie, Crève-Cœur, Juste-Colère, Visage-de-Souffrance, Reviens-de-Loin, Sourire-Amer, Eau-Tranquille, Colère-de-la-Terre, Embrase-les-Cœurs, Privé-de-Cendres, Court-les-Rêves, Fuit-les-Soucis, Prétend-être-Honnête, Bouche-à-Nourrir, Faiseur-de-Veuve, Orphelin-des-Dieux, Vaine-Présence, Marche-à-l'Ombre, Patience-de-l’Âme, Crache-la-Mort, Nez-Creux, Reste-à-la-Maison, Va-en-Guerre, Fille-de-la-Lune, Celui-qui-Marche, Parmi-les-Autres, Celle-qui-Rit, Celui-qui-Baille, Fait-du-Bruit, Donne-des-Coups, Fleur-de-la-Terre, Point-du-Jour, Petite-Blessure, Avance-en-Hésitant...